Le Gabon Actuel, le 19 octobre 2024 – Dans une déclaration forte qui risque de marquer un tournant dans l’histoire politique du Gabon, Bertrand Zibi Abeghe, ancien député de Bolossoville et opposant emblématique, a annoncé ce samedi la création de son parti politique, baptisé « Le QG ». Lors de cette conférence de presse tenue à la Chambre de commerce de Libreville, il a proclamé avec force son objectif de mettre un terme définitif à l’influence du Parti démocratique gabonais (PDG), qu’il qualifie de « moribond ».
D’un ton cinglant, Bertrand Zibi Abeghe n’a pas hésité à dénoncer ce qu’il perçoit comme un retour inattendu et insultant du PDG sur la scène politique. « Le retour du PDG au devant de la scène est une insulte à la mémoire des Gabonais », a-t-il déclaré. Avec une métaphore saisissante, il a comparé l’ancien parti au pouvoir à un serpent qui, bien qu’il mue, conserve son venin. Une manière de signifier que le PDG, malgré les apparences de changement, reste dangereux pour la démocratie gabonaise.
Un message au président : méfiez-vous des pédégistes
Bertrand Zibi Abeghe a également lancé un avertissement direct au président actuel du Gabon, l’exhortant à se méfier de son entourage. Il a insinué que certains acteurs politiques, notamment issus du PDG, n’ont pas l’intérêt du pays à cœur. « Faites attention à ceux qui vous entourent, car quand on aime quelqu’un, on lui dit la vérité », a-t-il déclaré avec gravité. Dans une critique directe, il a affirmé que les pédégistes ne vont jamais véritablement aimer le président actuel, puisqu’il les aurait privés de leurs privilèges. « Vous leur avez enlevé le beefsteak de la bouche », a-t-il poursuivi sous les applaudissements de ses partisans.
Zibi Abeghe s’est même interrogé sur la nature de la relation entre le président et les membres du PDG : « Pourquoi le président s’encombre-t-il de ces gens, quel pacte a-t-il avec eux ? », laissant planer des doutes sur les alliances en coulisses.
« Le QG » : un parti sans leader désigné
La principale annonce de la journée reste la création du « QG », un nouveau parti politique qui, selon Bertrand Zibi Abeghe, se veut différent des autres. « Le QG n’aura pas de leader désigné », a-t-il précisé, expliquant qu’il souhaite offrir une chance égale à tous les membres du parti de prendre des responsabilités. Ce parti aspire à promouvoir une nouvelle génération de dirigeants, en s’éloignant des pratiques centralisées et personnalisées du pouvoir.
« C’est vous les futurs sénateurs, les futurs députés », a-t-il lancé aux militants présents, en faisant référence à la nouvelle génération de leaders que ce parti entend promouvoir. Ce parti politique se veut donc un espace ouvert et participatif, dans lequel chacun pourra prétendre à des responsabilités sans qu’un leader unique soit imposé.
Un combat contre le PDG jusqu’au bout
Dans son discours, Bertrand Zibi Abeghe a réaffirmé sa détermination à combattre le PDG jusqu’au dernier souffle. « Nous allons combattre le PDG jusqu’à notre dernier souffle ! », a-t-il martelé avec conviction. Ce cri de ralliement montre la détermination de ce nouveau mouvement à s’opposer à tout retour du PDG dans la gestion des affaires publiques du Gabon.
Avec la création du QG, Bertrand Zibi Abeghe entend non seulement offrir une alternative politique au PDG, mais aussi proposer une nouvelle vision du Gabon, basée sur la transparence, l’honnêteté et le renouvellement de la classe politique. Cette déclaration intervient dans un contexte où beaucoup de Gabonais aspirent à un changement profond après des décennies de domination politique par le PDG.
Bonjour à tous et à tout moi je dirais Oui pour le référendum et cache Mr Brice Clotaire oligui nguema avec le CTRI ont un pris grand courage de libéré le Gabon des mais des bongo et leur système ou ils avaient déjà vendu notre beau pays le Gabon je vous remercie c’est en fin notre essor Vair la félicité que Dieu nous gardons
Bonjour à tous et toutes
Je vais d’abord dir merci aux CTRI pour le courage qu’il ont eut de mètre a pla le système bongo et les alliés je sais que ses té pas facile mais un soldat reste un soldat vous avez libéré le Gabon et en cor plus tous le pays est en chantier donner à la population ce qu’il veulent c’est tou ,je dis OUI pour le référendum et cache que Dieu bénisse le Gabon je vous remercie